Kashitsu Miyabi, telle une fleur parmis les mauvaises herbes...

Nom : Kashitsu

Prénom : Miyabi

Âge : 17 printemps

Sexe : Féminin =D

Orientation : Ne me touchez pas!!! (Si seulement un garçon m'aimait vraiment...)

Métier: Jardinière

Sous-race: Oubliée

Sous-catégorie: Clandestine (penchant soumise)

Pouvoir: Régénérescence rapide


Histoire :


Du plus loin qu'elle puisse s'en souvenir, Miyabi n'a pas de parents. Bien sûr, ce n'est pas vrai, mais elle ne les connait pas. Le directeur de l'orphelinat où elle a été élevée lui a dit qu'ils était morts, mais pas dans quelles circonstances. Elle n'a su ne quel était leur nom ni s'ils étaient humains ou Kitsune. Cet homme, Iru Shin'mitsu, l'a battue et violée à plusieurs reprises, mais elle ne pouvait l'accuser, car aucune marque ne restait sur son corps plus d'une heure, heure durant laquelle elle était confinée dans sa chambre. Abi a beaucoup de difficulté à accorder sa confiance et à socialiser, depuis.
Lorsqu'elle a eu 10 ans, la kitsune décida de se prendre en main, s'enfuiyant par une trappe d'aération. Durant 7 ans, elle vécut dans l'immense parc-jardins de Fushigi, se cachant dès qu'un inconnu approchait et se nourrissant du mieux qu'elle le pouvait. Un jour, durant la dernière année, des petits plats furent laissés à côté de l'endroit où elle dormait. Affamée, Miyabi les suivit et fut menée à une bâtisse. Lorsqu'elle avança vers une fenêtre, on la prit par derrière.

-AAAAH!!! Lâchez-moi!!! cria-t-elle en se débatant.

Puis, on la frappa à la tête et elle tomba dans les pommes. Lorsqu'elle se réveilla, elle était dans une cage. Un gros homme rougeaud se tenait devant elle et la regardait avec une lueur de fierté dans les yeux.

-Où suis-je? Qui êtes-vous? Que me voulez-vous? demanda Miyabi d'une toute petite voix.

L'homme ricana méchamment avant de répondre:

- Tu es à l'animalerie, je suis employé ici et j'ai bien l'intention de te vendre!

*L'a... l'ani... l'anini... l'animalerie? Et puis quoi encore!*


Caractère :

Miyabi est une kitsune de nature très timide. Elle est aussi gaffeuse, mais ça lui donne un certain charme. Elle est sensible, perspicace, rusée comme un renard et déborde d'imagination. Elle est très portée vers la musique et les arts en général. Si vous savez l'apprécier à sa juste valeur, elle saura vous apprécier à la vôtre. Miyabi a gardé un esprit jeune, mais cela ne l'empêche nullement d'avoir aussi une capacité de réflexion proportionelle à ses dix-sept ans. D'humeur joyeuse en général, Abi a un don pour donner le sourire aux gens. Faites tout de même attention, car elle est aussi fragile qu'un pétal de fleur, se déchirant facilement au moindre coup de vent.


Physique :

Miyabi est plutôt petite, mais pas trop. Disons 1 mètre 50? Elle ne sait pas vraiment puisqu'elle vit dans la nature. Aussi légère qu'une plume, cela lui donne une certaine agilité. Malheureusement, gaffeuse comme elle l'est, Abi n'en profite pas trop. Elle a toujours été mignonne et ses traits enfantins sont restés, se mêlant au physique de la jeune femme qu'elle est maintenant. Elle a un petit nez tout rond et une bouche vermeille. Ses grands yeux verts reflètent ses émotions, parfois agrandis par la peur ou brillants d'émotions. Sa chevelure longue est aussi rousse que la fourrure qui recouvre ses oreilles de renard et sa queue. Toutefois, la pointe de ses éléments animaux est colorée de blanc. La kitsune n'est pas habituée à se qu'on se retourne sur son passage, mais elle aurait le physique pour... du moment qu'elle se montre...


Aime : Les marques d'affection, la nature, les arts, etc.


N'aime pas : Être brusquée, ceux qui font du mal à la nature, l'homme de l'animalerie, le directeur de l'orphelinat où elle a été élevée, etc.




Test RP :


La nuit avait revêtu la ville de son manteau noir, parsemé d'étoiles. Il y avait plus d'une heure que je courais et je commençais sérieusement à manquer d'oxygène. Craignant de m'évanouir, je stoppai ma course effreinée et m'étendis dans l'herbe fraîche du champs dans lequel je me trouvais. Haletante, je fixai le ciel sombre recouvert de ces petites lueurs que je n'avais apperçu qu'à travers les bareaux qu'il y avait à la fenêtre de cette chambre d'orphelinat dans laquelle j'avais toujours dormi. Ce spectacle était magnifique pour moi. Du haut de mes dix ans, je n'avais jamais vu pareille merveille. C'était si... grand! Le monsieur de l'orphlinat m'avait dit un jour que lui et les autres humains venait de loin loin, de l'autre côté du ciel. En regardant ce ciel étoilé, j'essayai de voir l'autre côté, mais n'y arrivai pas. Je me demande si mon papa et ma maman sont quelque part, de l'autre côté du ciel, eux aussi. Un jour, quand je serai plus vieille, j'irai les rejoindre. À ce moment-là, je pourrai savoir à quoi ça ressemble.

Une fois que je pus à nouveau respirer normalement, je me relevai péniblement et regardai autour de moi. À gauche, il y avait le prolongement du champ et à droite, pareil. Derrière moi, j'appercevais les lumières trop fortes de la ville d'où je venais de m'enfuir et devant, il y avait une forêt. Il faisait froid dans le champ et les arbres me protègeraient du vent, alors j'optai pour la forêt.
Lentement, j'approchai de la lisière et pénétrai dans les bois. À mesure que j'avançais, les ténèbrtes m'enveloppaient et j'avais l'impression de sombrer. Les ombres me happaient. Ça m'effrayait, mais je n'arrivais pas à rebrousser chemin. Je me sentais comme une mouche attirée par la lumière d'un lampadaire. Tout à coup, un craquement sinistre se fit entendre sur ma droite.

-Qui est là? criai-je. Il y a quelqu'un?

Personne ne répondit, mais un autre craquement se fit entendre. Redressant les oreilles, la queue hérissée et tremblottante, je figeai. J'entendais le vent à travers les branches et le bruit d'un ruisseau tout près, mais surtout, j'entendais des bruits de pas et des respirations étouffées. Terrifiée, je ne réagis même pas lorsque cinq hommes me sautèrent dessus. De ce fait, ils me maîtrisèrent en un rien de temps. Je me décidai à me débattre, mordre et griffer seulement à ce moment, ce qui ne fut pas d'une très grande efficacité. Le plus grand des hommes se planta devant moi avec un sourire féroce accroché aux lèvres.

-Eh bien! Eh bien! Mademoiselle Kashitsu Miyabi... Que faites-vous si loin de l'orphelinat? Ou plutôt... Que faites-vous si loin de moi?

*Monsieur Iru Shin'mitsu! C'est fichu! Je suis de retour en enfer...*


Je me réveillai en sursaut, recroquevillée dans les taillis. En larmes, je me demandai au moins pour la millième fois pourquoi je n'arrivais pas à chasser ce cauchemar de mon esprit. Il y avait sept ans que je m'étais enfuie loin de cet ignoble personnage et j'avais toujours peur qu'il me retrouve. Ce rêve était si réaliste! Reproduisant ma fuite dans chaque détail. Seule l'embusque de la fin provenait de mon imagination, mais je craignait chaque fois qu'elle soit vraie. Oh! Comme j'espère pouvoir oublier un jour... Ne puis-je pas avoir une vie normale, moi aussi? Ne puis-je pas avoir un famille et des amis? Oh! Tout cela est ridicule... Comment une jeune hybride perdue comme moi pourrait avoir une belle vie et être aimée? Peut-être vaut-il mieux que j'abandonne... Peut-être vaut-il mieux que je meure... Oh! Comme je voudrais oublier et être oubliée... Oh! Comme je voudrais être trouvée et être aimée...




Sur vous:


Surnom: Marie, poulet, patate, etc.

Pays: Québec! =D (Canada)

Comment avez-vous connu ce forum?: heu... Attendez! Mais c'est en partie mon idée, ce fow!!! :O

Vos horaires: Suis dans une année charnière et suis plutôt occupée, mais je ferai mon possible!!! :) (assez souvent, je crois... :O )

Autre chose?: Vive les patateeeeeeeeeeeeeeeeuh!!!!!!!!!!!!!!!

Validé sans aucun trouble.

Cordialement,
Nokay Vanora